En 1954, l’Assemblée générale a recommandé [résolution 836 (IX)] à tous les pays d’instituer une Journée mondiale de l’enfance, qui serait une journée de fraternité mondiale et de compréhension entre les enfants, et d’activités favorisant le bien-être des enfants du monde entier. Elle a proposé aux gouvernements que cette journée soit célébrée à la date qui leur semblait la mieux appropriée. Le 20 novembre marque le jour de l’adoption par l’Assemblée de la Déclaration des droits de l’enfant en 1959, et de la Convention relative aux droits de l’enfant, signée en 1989.
En septembre 2000, à l'occasion du Sommet du Millénaire, des dirigeants politiques du monde entier sont convenus de huit objectifs du Millénaire pour le développement (OMDs) - qui vont de la réduction de moitié de l’extrême pauvreté à l’éducation primaire pour tous, en passant par l’arrêt de la propagation du VIH/sida, et ce à l’horizon 2015. Bien que ces Objectifs concernent l'humanité tout entière, ils concernent en premier lieu les enfants. Six des huit objectifs concernent directement les enfants et en atteignant les deux autres, on améliorera aussi leur vie de manière considérable. (OMDs, UNICEF)
lundi 22 novembre 2010
samedi 20 novembre 2010
Haiti-Choléra : 1.186 morts et près de 50.000 personnes examinées en un mois Trois cas en Rép. Dominicaine
vendredi 19 novembre 2010
P-au-P., 19 nov. 2010 [AlterPresse] --- L’épidémie de choléra, apparue en Haïti depuis un mois, a causé le décès de 1.186 malades, alors que 49.418 personnes ont été examinées dans les différents centres de santé, selon les dernières données communiquées par les autorités sanitaires.
La maladie, qui a déjà touché huit des dix départements du pays, a obligé à l’hospitalisation de 19.646 personnes, dont 18.872 ont été renvoyées chez elles après avoir reçu des soins appropriés.
Le nombre de morts au quotidien s’élève maintenant à 73 et le département du Nord est devenu la région où le plus de cas mortels ont été enregistrés d’un jour à l’autre, soit 20 décès.
Dans l’Artibonite, un des premiers foyers de la maladie, 17 morts ont été recensés, 14 l’ont été dans le Nord-Ouest, 11 dans l’Ouest et le même nombre dans le Plateau Central (Est).
Le département du Sud-Est, qui était jusqu’à récemment libre de l’épidémie, a enregistré six cas.
Les premiers cas de choléra ont été détectés le 19 octobre, il y a exactement un mois, à Mirebalais, dans le Plateau Central (Est).
Plusieurs manifestations ont eu lieu à Mirebalais, Hinche (Plateau central), Cap Haitien (Nord) et à Port-au-Prince pour réclamer le départ de la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation d’Haiti (MINUSTAH), pointée comme responsable de l’apparition du choléra dans le pays.
Le contingent népalais est soupçonné d’avoir déversé des matières fécales dans un affluent du fleuve Artibonite qui traverse les premières régions où est apparue la maladie.
La mission s’est défendue à maintes reprises de ces allégations, s’appuyant sur les résultats de sa propre enquête menée sur son contingent de casques bleus népalais basé à Mirebalais. Le ressentiment ne s’est toutefois pas apaisé.
Entretemps, en République Dominicaine, trois personnes ont été infectées, selon les autorités sanitaires de ce pays, qui partage plus de 300 km de frontière avec Haiti.
Deux nouveaux cas : une grand-mère et sa petite-fille, toutes deux Dominicaines, viennent de s’ajouter à celui de l’Haitien Wilmo Louwe, découvert il y a quelques jours.
Cependant, les tests effectués pour le malade haïtien se sont révélés négatifs. [gp apr 19/11/2010 14 :00]
P-au-P., 19 nov. 2010 [AlterPresse] --- L’épidémie de choléra, apparue en Haïti depuis un mois, a causé le décès de 1.186 malades, alors que 49.418 personnes ont été examinées dans les différents centres de santé, selon les dernières données communiquées par les autorités sanitaires.
La maladie, qui a déjà touché huit des dix départements du pays, a obligé à l’hospitalisation de 19.646 personnes, dont 18.872 ont été renvoyées chez elles après avoir reçu des soins appropriés.
Le nombre de morts au quotidien s’élève maintenant à 73 et le département du Nord est devenu la région où le plus de cas mortels ont été enregistrés d’un jour à l’autre, soit 20 décès.
Dans l’Artibonite, un des premiers foyers de la maladie, 17 morts ont été recensés, 14 l’ont été dans le Nord-Ouest, 11 dans l’Ouest et le même nombre dans le Plateau Central (Est).
Le département du Sud-Est, qui était jusqu’à récemment libre de l’épidémie, a enregistré six cas.
Les premiers cas de choléra ont été détectés le 19 octobre, il y a exactement un mois, à Mirebalais, dans le Plateau Central (Est).
Plusieurs manifestations ont eu lieu à Mirebalais, Hinche (Plateau central), Cap Haitien (Nord) et à Port-au-Prince pour réclamer le départ de la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation d’Haiti (MINUSTAH), pointée comme responsable de l’apparition du choléra dans le pays.
Le contingent népalais est soupçonné d’avoir déversé des matières fécales dans un affluent du fleuve Artibonite qui traverse les premières régions où est apparue la maladie.
La mission s’est défendue à maintes reprises de ces allégations, s’appuyant sur les résultats de sa propre enquête menée sur son contingent de casques bleus népalais basé à Mirebalais. Le ressentiment ne s’est toutefois pas apaisé.
Entretemps, en République Dominicaine, trois personnes ont été infectées, selon les autorités sanitaires de ce pays, qui partage plus de 300 km de frontière avec Haiti.
Deux nouveaux cas : une grand-mère et sa petite-fille, toutes deux Dominicaines, viennent de s’ajouter à celui de l’Haitien Wilmo Louwe, découvert il y a quelques jours.
Cependant, les tests effectués pour le malade haïtien se sont révélés négatifs. [gp apr 19/11/2010 14 :00]
samedi 6 novembre 2010
Cyclone Tomas: Alerte cyclonique sur Haiti, 6 morts
6/11/10 à 15h21: Le bilan provisoire de l’ouragan Tomas s’élève à 6 morts sur Haïti, tandis que 2 autres personnes sont toujours portées disparues et 11 ont été blessées selon le dernier rapport fourni par les autorités locales.
Tomas qui a reperdu de sa puissance et qui est donc repassé au stade de tempête tropicale s’éloigne d’Haïti ou il a déversé de grosses quantités de pluies sur son passage.
45 maisons ont été détruites et 10 endommagées dans les zones touchées, tandis que 18 000 personnes ont été évacuées dans les différents départements, 14 000 sont dans des abris temporaires.
Tomas qui a reperdu de sa puissance et qui est donc repassé au stade de tempête tropicale s’éloigne d’Haïti ou il a déversé de grosses quantités de pluies sur son passage.
45 maisons ont été détruites et 10 endommagées dans les zones touchées, tandis que 18 000 personnes ont été évacuées dans les différents départements, 14 000 sont dans des abris temporaires.
vendredi 5 novembre 2010
Le cyclone Thomas menace Haiti
L’alerte au cyclone est passée de jaune à orange aujourd’hui. "L'alerte pourrait être élevée à "rouge" selon les dernières précisions sur la trajectoire de l'ouragan", a indiqué M. Ronald Semelfort du Centre national de météorologie.
Le secrétariat permanent de gestion des risques et des désastres a décrété vendredi l’alerte aux inondations et aux glissements de terrain après la transformation d’une puissante onde tropicale en une tempête tropicale baptisée Thomas qui pourrait provoquer d’importantes précipitations sur Haïti.
Dans un premier bulletin spécial, le Centre national de météorologie (CNM) informe que tous les départements sont menacés, notamment le grand sud et l’ouest.
Il a aussi averti que ce système en progression dans l’Océan Atlantique pourrait toucher dimanche, mais surtout lundi et mardi prochains les côtes haïtiennes et entraîner, à cause d’une abondante pluviométrie, des inondations et des éboulements.
De ce fait, le plan national de gestion des risques et des désastres a été activé. Car, une amélioration des conditions météo n’est pas attendue avant mercredi dans les différentes régions du pays.
Outre d’intenses périodes pluvieuses, l’alerte hydro météo en vigueur concerne également de violents coups de vent et des orages qui pourraient menacer différents points du territoire, précise le météorologue.
Il rappelle aux populations des zones à risques la nécessité d’appliquer les consignes de sécurité et de se déplacer si nécessaire.
Tour à tour frappée par un séisme dévastateur en janvier, une brusque tempête en septembre et maintenant une épidémie de choléra, Haïti doit continuer à affronter jusqu’à fin novembre une saison cyclonique 2010 très active.
Le secrétariat permanent de gestion des risques et des désastres a décrété vendredi l’alerte aux inondations et aux glissements de terrain après la transformation d’une puissante onde tropicale en une tempête tropicale baptisée Thomas qui pourrait provoquer d’importantes précipitations sur Haïti.
Dans un premier bulletin spécial, le Centre national de météorologie (CNM) informe que tous les départements sont menacés, notamment le grand sud et l’ouest.
Il a aussi averti que ce système en progression dans l’Océan Atlantique pourrait toucher dimanche, mais surtout lundi et mardi prochains les côtes haïtiennes et entraîner, à cause d’une abondante pluviométrie, des inondations et des éboulements.
De ce fait, le plan national de gestion des risques et des désastres a été activé. Car, une amélioration des conditions météo n’est pas attendue avant mercredi dans les différentes régions du pays.
Outre d’intenses périodes pluvieuses, l’alerte hydro météo en vigueur concerne également de violents coups de vent et des orages qui pourraient menacer différents points du territoire, précise le météorologue.
Il rappelle aux populations des zones à risques la nécessité d’appliquer les consignes de sécurité et de se déplacer si nécessaire.
Tour à tour frappée par un séisme dévastateur en janvier, une brusque tempête en septembre et maintenant une épidémie de choléra, Haïti doit continuer à affronter jusqu’à fin novembre une saison cyclonique 2010 très active.
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